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Delia [Kln]


Re: Delia [Kln]

Delia prit la fuite, aussi rapidement qu’elle le put : courir avec un ventre aussi gros que le sien était extrêmement difficile. Elle était ralentie et encombrée. Elle trébucha presque d’ailleurs.

Léchouille la suivit, en jappant, agressif : il considérait la femme comme sa propriété, il n’apprécierait certainement pas que quiconque vienne la troubler.

Hélas pour les deux comparses, les abeilles les suivirent, plus rapidement qu’ils n’avaient fui : la plus grosse des trois abeilles les arrêta, se trouvant juste devant eux cette fois.

La brunette entendit un sourd bourdonnement à sa gauche et un bruit de lutte, les aboiements étouffés de son compagnon, hurlant de douleur : l’une des deux autres abeilles avaient déjà attaqué, sur le flanc gauche, et avait piqué Léchouille, qui tomba au sol, inconscient. Contrairement à des abeilles normales, cependant, l’insecte retira son aiguillon du corps de sa victime et n’arracha pas l’ensemble de ses boyaux par la même occasion. (L’abeille 3 jette un 27 et inflige un CC à Léchouille qui ne réussit qu’un 13… Les effets du venin seront décrits plus tard)

La première abeille chargea et Delia, aussi attentive qu’elle fut, n’esquiva que de justesse l’assaut mais fut coupée à la jambe gauche par l’aiguillon de la créature. (L’abeille 1 touche difficilement avec un 22 contre un 21 et le venin augmente l’AP de Delia) Elle se sent légèrement étourdie.

Distraite par l’attaque précédente, la dernière abeille surprend totalement la femme-chat et s’accroche à son dos. Elle a beau hurler, rien n’empêche la créature de planter son aiguillon dans son dos. Rapidement, la douleur disparaît et laisse place à une excitation folle, comme si… Comme si elle était sur le point de jouir encore. (Abeille 2 plante son dard habilement dans une zone critique du corps de Delia : 27 à 12. Delia perd le combat)

L’abeille relâcha sa proie et la laissa tomber à genou, dépassée par les effets du venin.

Les deux « petites » créatures disparurent alors que la plus grosse des trois cracha son nectar durement amassé sur notre pauvre héroïne : nectar ou quoi que ce soit, ce fut craché avec tant de violence sur sa cible, qu’elle se retrouva projetée au sol et, par les pouvoirs gluant de cette curieuse mixture, collée au sol.



Delia : 3/5FP 9/10AP
Léchouille : 0/3FP 4/10AP (pas mort, pour cette fois-ci :) )
Abeille 1 : 3/3FP 0/10AP
Abeille 2 : 2/2FP 0/10AP
Abeille 3 : 2/2FP 0/10AP

C’est vraiment dingue les jets de dés que vous me sortez avec Léchouille Oo ! Lorsque je lance en dehors des combats, j’ai des stats normales, là, avec ou sans bonus de surprise/rapidité/pregnancy/etc., vous perdez quasiment automatiquement ><

Pas besoin de dire ce que tu vas faire dans le prochain épisode, je te laisse décrire l’action en attendant mon prochain gros paragraphe :D !
 
Re: Delia [Kln]

Ouais bah... J'ai pris l'habitude maintenant. Au moins c'est le genre de jeu où même si tu perds, t'es pas triste. Un peu de pitié pour le bedon de ma pauvre héroïne, quand même. :D

Delia s'élança et se mit à courir, mais ses efforts furent vains. Alourdie par sa charge, les insectes la rattrapèrent facilement, elle et son chien.

Léchouille fut le premier à tomber, frappé par un aiguillon. A son grand soulagement, Delia vit que l'animal respirait encore.
Elle comprit soudaienement pourquoi lorsqu'une seconde abeille l'érafla de son dard. Sa tête se mit à tourner, et elle commençait à avoir chaud.
Un... Un aphrodisiaque. Merde..., se dit-elle.

Destabilisée, elle ne put sentir que trop tard la dernière abeille arriver dans son dos et y planter son aiguillon, au niveau des hanches.
La pleine dose d'aphrodisiaque plongea Delia dans un état d'éxcitation intense. Sa chatte commença à nouveau à s'humidifier. Delia fut envahit par une chaleur intense, qui se concentrait dans le bas de son ventre, et elle se sentit sur le point de jouir (encore).Elle tenta instictivement de caresser ses seins et ses parties sensibles afin de se soulager.

Elle ne put y arriver car la grosse abeille lui cracha, comme la mouche de la veille, un grand jet de nectar qui la plaqua durement au sol. Elle se retrouva une nouvelle fois sur le dos, les bras collés au corps et littérallement "scotchée" sur le sol terreux.

<<Mmm... Aaaaah... Je... Cette sensation.. Pi... Pitié... Laissez-moi.. Jouir. Je veux... Gnnn...>> gémit-elle.

Incapable de bouger, Delia était dans un état second, haletante, tentant pathétiquement de bouger le bras pour se caresser. Elle était, une nouvelle fois, à la merci d'insectes sourds à ses supplications.
 
Re: Delia [Kln]

Hélas pour Delia, les créatures ne vinrent pas ni la baiser gentiment ni la violer doucement… Elles s’en allèrent, repartant vers leur ruche et leur travail acharné.

Elle se retrouva donc seule, engluée physiquement dans cette étrange mixture rose, engluée physiquement par les pouvoirs de cette étrange mixture rose.

Elle dût donc rester là, à se débattre furieusement, espérant dégager au moins un bras pour pouvoir atteindre ses parties intimes et se libérer du joug de cette envie.

Quitte à lui faire subir des tortures innommables, ces créatures ne pouvaient-elles donc lui laisser ne serait-ce qu’un peu de plaisir ? Il semblerait malheureusement que non.

Mais soudainement, le sol autour de la brunette trembla : sept tentacules verts jaillirent des profondeurs et l’entourèrent, menaçants. Bien plus puissants qu’elle, les créatures – qu’était-ce, en vérité ? – se jetèrent sur elle et n’eurent aucun mal à traverser l’épaisseur gluante du liquide dans lequel elle était embourbée.

Quatre lui attrapèrent bras et jambes, pour s’assurer qu’elle ne bouge pas – bien que ce ne fût pas nécessaire. Delia remarqua alors la forme particulière du « bout » des tentacules. Ils n’avaient rien de ceux des poulpes ou des filaments de méduses : ils avaient une forme de pénis… Excepté deux qui ressemblaient plus à des coupelles, transparentes.

Les deux fondirent sur le torse de la jeune femme et s’accrochèrent à ses petits seins, tout durs à travers la combinaison, alors que la troisième, sans concessions, s’approcha de ses parties intimes et la pénétra, transperçant son short.

L’action, rapide, brutale bien qu’attendue fut au début plutôt douloureuse : il était déjà lubrifié par un gel ou une peau humide mais la pénétration se fit avec fracas. L’appendice était plutôt gros et elle devait serrer les dents pour lutter.

Sentant qu’elle ne voulait, qu’elle ne pouvait se débattre ou fuir, les autres appendices la lâchèrent et hésitèrent un instant : comment allaient-ils se satisfaire ?

Delia, pendant ce temps-là, commençait à apprécier de plus en plus le traitement infligé par les créatures : les deux suçant ses seins la chatouillaient, avec de touts petits tentacules miniaturisés pour la satisfaire et l’aider à pomper son lait – bien qu’elle ne pouvait sûrement en donner guère – et l’autre pilonnait toujours intensément son pauvre minet. Etait-ce les aphrodisiaques ou était-elle simplement contente et excitée par ce sexe exotique ? Souhait-elle essayer de résister tout de même un peu ou point du tout ?
 
Re: Delia [Kln]

Dans ce qui semblait être un acte ironique de pitié, les insectes repartirent vers la ruche, avec la satisfaction du travail bien fait.
Et la pauvre Delia de se retrouver immobilisée, sur le dos.

Plusieurs minutes passèrent, qui semblèrent des heures à Delia. L'aphodisiaque continuait ses ravages, et elle pouvait sentir d'insoutenables fourmillements parcourir sa chatte. Mais, malgré ses efforts redoublés, elle ne pouvait soulager ses pulsions, et elle restat ainsi, gémissant doucement.

Elle sentit le sol trembler sous elle et un bruit, d'abord assoudi, puis de plus en plus proche. D'un coup, une demi-douzaine de tentacules surgirent autour d'elle tels des vers, ravis d'avoir trouvées une proie facile.
Plusieurs d'entre eux s'occupèrent de l'immobiliser totalement. Leur extrêmité avait la forme d'un énorme phallus et laissait peu de suspense à Delia sur ce qui allait lui arriver. Elle ressentit à la fois de la peur mais, surtout, un honteux soulagement.
Deux des tentacules, qui eux avaient la forme de coupoles, se jetèrent sur les seins de Delia, les enserrant à travers sa combinaison, et s'appliquèrent à les stimuler en un mélange de succion et de massage. Elle pouvait voir ses mammelles se déformer dans les coupoles transparente, épousant leur forme sous l'effet de leur succion.

Le dernier tentacule se plaça entre les jambes de la fille-chat, écartées par ses comparses. Il entra violemment en elle, déchirant au passage son bas, dilatant douloureusement et soudainement son vagin.
Malgré le lubrifiant qui coulait de son vagin à l'issue des longues minutes d'attente, coincée dans le liquide gluant des abeilles, elle ne put réprimer un cri de douleur, d'autant que le tentacule ne prit pas de gant et commença immédiatement à pistonner en elle, battant son cervix à chaque va-et-vient, Bousculant à chaque passage les oeufs de mouche que portait Delia en elle, le tout dans un bruit sec.
Hmpf! Aaaaah! Aaaah! C'est... Trop gros! Aaaah!
Ses dents se sérrèrent; ses yeux s'humidifièrent.

Mais au bout d'une minute de pistonnage intensif et de stimulation mammaire, les sensations changèrent peu à peu. La douleur se transforma lentement en plaisir intense, la frustration de ces dernières minutes, cette torture amenée par les aphrodisiques brisée avec fracas.
Les tentacules encapsulant ses seins n'étaient pas en reste. A l'intérieur des coupoles, des dizaines de petits tentacules stimulaient ses tétons, devenus durs comme de la pierre, mis à découvert par les petits tentacules en faisant un trou dans sa combinaison, tandis que la succion gagnait en intensité. Elle pouvait sentir un liquide -son lait? - commencer à goutter de ses seins grâce à l'aphrodisiaque et aux efforts assidus des tentacules, et être avidement absorbé par ses aggresseurs.

Les cris se transformèrent rapidement en babillements incohérents.
aaah... aaah... Bon... C'est... Aaaah... Ggnaaa..
Toute vélléité de résistance qui se formait dans son esprit embrumé était impitoyablement défoncée en même temps que sa chatte. Elle ne remarqua même pas que les autres tentacules avaient arrêté de la retenir (pour le peu qu'elle pouvait bouger) et se préparaient à prendre leur part dans l'action.
 
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Re: Delia [Kln]

Totalement soumise et dépourvue de forces, l’esprit de Delia disparut dans des volutes de fumée et d’extase après que le tentacule la ramonant éjacula une première fois, remplissant son vagin et son utérus de sperme chaud et gluant.

Mais là où une créature normale se serait arrêtée, exténuée, le tentacule continua, toujours au même rythme. Mieux encore – la jeune femme agréant à ce traitement avec plaisir – les quatre autres tentacules se joignirent aux festivités.

Le premier rentra dans la bouche grande ouverte de la brunette, étouffant ses complaintes sucrées ; le second agrandit le trou dans son short et pénétra son anus, allant jusqu’à bousculer les œufs des précédents violeurs ; le troisième choisit de partager les jus goûteux de la femme-chat et stoppant son comparse, essaya de rentrer dans sa chatte, lui aussi ; le dernier trouva sa place au sein de la main gauche de la jeune humaine, qu’elle serra histoire de pouvoir le masturber tranquillement.

Son cul lui faisait mal car elle n’avait guère d’expérience et le phallus était plutôt gros, ce qui lui distordait l’entrée, d’autant plus qu’il venait buter contre les œufs ce qui était à la fois fort excitant et nuisible. Heureusement pour elle que dans son état, elle sentait plus le plaisir que la douleur.

Les deux tentacules à l’entrée de sa chatte se mirent d’accord pour rentrer ensemble, en même temps, ce qui lui arracha un cri et laisserait très certainement des marques…

Le temps passa, les tentacules continuèrent leur besogne et se relayèrent parfois, échangeant leurs zones de travail. Ils éjaculèrent, encore et encore, la remplissant plus qu’elle ne pouvait contenir de ce liquide si chaud, la couvrant, la recouvrant, salissant – ou prenant soin – de sa peau mate. Elle avala tout ce qu’elle put, ce qui lui permit de tenir le choc mais l’enfonça d’autant plus dans cet abysse de plaisir où la volonté, la personnalité et l’intelligence n’existent plus…

Après un temps, la « glue » des abeilles s’était écoulée sur le sol, avait légèrement séché et ne tenait presque plus la femme-chat. Tous les tentacules avaient joui une bonne dizaine de fois et la laissèrent « tranquille », s’en retournant sous la terre.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

Delia se réveilla ce qui était longtemps après : il faisait un grand soleil – bien que ses rayons passaient difficilement à travers les branchages – alors qu’elle s’était éteinte durant des lumières plus sombres. Léchouille était là, endormi à ses côtés, bien tranquillement.

Elle essaya de bouger mais était toujours collée au sol. Elle s’arracha de la glue d’un seul coup qui l’épuisa et la fit haleter, ce qui réveilla son compagnon canidé – étrange, alors qu’elle était à moitié chat, pensa-t-elle.

Elle palpa ses parties intimes, pour voir les dégâts causés : ses seins semblaient plus légèrement plus bombés et à la forme de ses tétons, elle s’aperçut être toujours excitée ; son anus et son minet était extrêmement douloureux mais ne semblaient pas endommagés. A contrario, ils dégoulinaient…

Du foutre s’échappait de ses orifices, comblés alors que son ventre lui paraissait presque à maturité. Elle tâta son visage, sa peau, couverts de ce liquide sec : elle hésitait à savoir si c’était désagréable, humiliant ou pas…

Elle essaya de se relever mais ne le put : son ventre était trop gros et la déstabilisait : son orifice anal aussi était encombré ce qui était par contre très gênant, qu’importe sa position…

Son épée se trouvait à quelques pas avec ses autres affaires plus loin. Elle pouvait ramper jusque-là, partir ou rester là. Elle pouvait demander à Léchouille de venir la caresser ou non. Peu lui importait : son esprit était toujours confus et elle ne savait trop quoi faire ou penser mais avait pleins d’idées salaces à la place de véritables réflexions.

Rappel sur statut :
2/5FP 3/5AP
Effets :
Sperme de tentacules : -5AP max, excitée pendant un temps.
Enceinte jusqu’au cou : Impossibilité de marcher, gros malus en combat, mis à bas bientôt.
Equipement :
Epée (pas à portée de main)
Short et veste : abîmés, faible protection contre froid ou intempéries, aucune contre attaques.
Tout un paquet de choses (pas à portée de main).
 
Re: Delia [Kln]

Totalement soumise, Delia devint le jouet des créatures, jouissant au moins deux fois de suite sous leur emprise. Elle sentit bientôt la tentacule en elle relâcher son sperme en grande quantité, dégoulinant en-dehors lorsque le tentacule fit mine de se retirer.

Epuisée, haletante, elle pensa que la bête en avait finit. Mais elle ne s'arrêta. Pire, elle redoubla d'efforts arrachant d'elle un petit cri de plaisir à chaque mouvement.
*Schtock*Aaah!*Schplock*Aaaah!...

Les autres tentacules en profitèrent pour se jeter sur elle. Ses cris furent interrompu par un autre phallus qui s'engouffra dans sa bouche. Elle le sentit descendre profondément dans sa gorge, baisant cette extrémité aussi violemment que l'autre. Un autre perça ses vêtements et s'inséra violemment dans son anus déjà encombré par sa charge, et pistonnant au même rythme que les deux autres. Elle en empoigna instinctivement un troisième dans sa main tandis que le dernier se pressa à l'entrée de son vagin. Ce faisant, il stimulait son clitoris, ce qui la fit jouir à nouveau.
Les contractions firent jouir à nouveau les appendices, qui déversèrent ensemble leur foutre dans et sur la jeune femme. Pendant un moment, on n'entendit que les bruits d'un liquide s'écoulant, accompagné du *gloup* *gloup* forcé de la jeune femme.

Le tentacule fit à nouveau mine de se retirer, mais ce n'était que pour faciliter à la tâche à son compère. Ils la pénétrèrent tous deux, étirant son vagin à ses limites. Leur silhouette pouvait être vue sur le ventre distendu de la fille-chat.
Delia hurla, son cri étouffée par le membre profondément enfoncé dans sa gorge, tandis que les deux tentacules reprirent rapidement leur rythme de croisière.

Delia devint pendant un long moment le pantin de ces créatures. Avec une précision diabolique, les tentacules synchronisaient leur effort, parfois poussant ensemble, parfois chacun leur tour. Les quelques moments de répit étaient ceux où les tentacules se vidaient en elle, grossissant son ventre, faisant ressortir le sperme de ses orifices.
Elle-même était dans un état second. La douleur intense d'être étirée et défoncée de toute part l'empêchait d'atteindre un nouvel orgasme et elle dut ainsi subir, pendant de longues minutes, les assauts des tentacules, coincée entre Paradis et Enfer, la punition qu'elle subissait la tenant éveillée.

Après une bonne douzaine d'éjaculations, les tentacules repartirent sous-terre la laissant seule, le ventre gonflé. Elle était recouverte de sperme et le reste s'écoulait d'elle. Sa chatte était encore entrouverte et tellement étirée qu'une personne aurait pu y introduire aisément plusieurs doigts, voire plus.
N'y tenant plus, elle perdit connaissance.

Elle ne revint à elle que plusieurs heures plus tard. Le Soleil semblait avoir fait un tour complet durant son moment d'absence et la glue qui la maintenait au sol avait séchée. De même que le sperme qui recouvrait son corps. Ses vêtements étaient en lambeaux et ne protégeaient plus grand chose.

La tête lourde, elle parvint à se décoller, mais ne put qu'au mieux se mettre en position assise à cause de son gros ventre. Elle sentait que le moment pour son "accouchement" était proche, mais avait d'autres préoccupation.

Elle se redressa contre un arbre et regarda Léchouille. D'un sourire béat, encore sous les effets de ses rencontres de la veille, elle lui fit signe de venir auprès d'elle.
Elle avait besoin de réconfort. Et de caresses. Et d'une bonne douche, aussi.
 
Re: Delia [Kln]

Delia s’adossa contre un arbre, à l’écorce durci par le temps et rongée par les vers et la mousse, et incita son compagnon à s’approcher d’elle. Elle se sentait un peu seule, un peu sale et toujours très excitée alors le labrador violet vint et lui léchouilla le visage.

Elle en rit.

Mais très rapidement, le chien la bouscula un peu trop, pataud alors elle le redirigea vers ses parties inférieures, souillées entre ses jus à elle et ceux des tentacules.

Aimait-il le mélange ? Car le canidé ne se fit pas prier pour essayer mais n’eut pas non plus besoin d’encouragement pour continuer à lécher le minou, grand ouvert à cause du viol de la nuit précédente, de la brunette.

Cela lui prit cinq minutes mais Delia « éjacula », expulsant un peu des fluides masculins des tentacules à l’orgasme. Essoufflée, elle attendit un peu, bien que son ami ne se soit pas arrêté entre temps, avant de se dire que c’était égoïste.

Elle se déplaça à côté de Léchouille pour venir lui caresser le scrotum. Cela l’ennuyait car si être léchée l’excitait totalement, pas lui… Elle dut donc y mettre du sien avant de pouvoir enfin mettre son pénis dans la bouche, de pouvoir lui lécher sa queue, si bonne et bien plus propre que celle d’un être humain – elle l’avait vu se nettoyer plusieurs fois par jour.

Au bout d’un moment, il éjacula, lui aussi, dans sa bouche, qui s’habituait aux goûts salés et amers, depuis qu’elle était sur cette fichue planète.

Elle s’allongea et il fit de même, tous deux étant exténués.

C’était bien beau, tout ça mais… Que faire maintenant ?
 
Re: Delia [Kln]

Encore un peu groggy par le venin de l'abeille, Léchouille dandinna vers sa maîtresse, qu'il badigeonna de grands coups de langue, la chatouillant au passage.
Cela remonta légèrement le moral de Delia, mais acheva également de l'exciter.

Elle guida la gueule de l'animal, qui ne se fit pas prier pour lécher avec ardeur son minou, duquel coulait encore un petit filet des fluides de son dernier coït.

Quelques minutes suffirent à Delia pour jouir. Ses contractions provoquèrent l'expulsion d'un émais torrent de sperme, soulageant quelque peu Delia et au grand plaisir de Léchouille.

Elle se décida à lui rendre de nouveau la pareille et les deux comparses passèrent un bon moment, engagés dans un 69 des plus exotiques.

Tous deux satisfaits, Delia réussit, non sans mal, à se faire apporter par Léchouille ses possessions éparpillées ça et là.

Complètement grabataire à cause de son ventre au bord de la rupture, elle décida de se reposer un peu et de se preparer du mieux qu'elle pouvait à l'inévitable "accouchement" qui surviendrait d'ici peu, Léchouille veillant sur elle et en profitant pour lécher de temps à autre son corps couvert de sperme séché.
Elle espéra que sa précédente épreuve l'avait quelque peu préparée à celà.
 
Re: Delia [Kln]

Après que Léchouille lui eut rapporté ses affaires, Delia s’allongea et se mit à songer : ces créatures qui allaient sortir étaient-elles une part d’elle-même ? Ce n’était pas de vrais enfants, ce seraient des mouches mais qui seraient restées dans son ventre, des œufs qui auraient été fécondé en elle. Que devrait-elle en faire ? Les tuer à leur sortie ? Les abandonner ? S’en occuper ? En choisir pour l’accompagner et laisser la nature faire son œuvre pour les autres ?

Ces mouches avaient été rudes mais ne l’avaient pas si mal traité que cela – ou était-ce les effets du sperme addictif qui lui faisait penser ça ? Elles n’étaient peut-être pas si méchantes…

En tous cas, c’était un questionnement nécessaire.
 
Re: Delia [Kln]

Tout en patientant, Delia songea brièvement aux futurs larves qui allaient sortir de son corps. Mais elle avait énormément de mal à avoir un quelconque affect pour eux. Elle n'était que leur mère porteuse, et l'était devenu d'une façon peu enviable (quoique...).

Elle fut sérieusement tentée de s' en débarasser définitivement mais, étrangement, elle ne put s' y résoudre, comme une instruction subliminale , laissée par les insectes avec leurs oeufs.
Elle décida de laisser faire la nature et de laisser les larves vaquer à leurs occupations.. Tant que ces occupations ne la concernaient pas!
 
Re: Delia [Kln]

Delia attendit encore un peu, scrutant les arbres alentours, écoutant le silence glacial du vent et des rares animaux présents et visibles. Elle ne savait si c’était une ambiance lourde, pesante, stressante ou plutôt apaisante.

Soudainement, Delia sentit quelque chose d’étrange, de douloureux, de nouveau. Un spasme, une contraction utérine. Les œufs allaient sortir !

Léchouille aboya, craignant pour sa crémière alors que la brunette voyait ses contractions s’accélérer et ses cris augmenter en puissance.

Au bout d’un moment, elle sentit l’un des œufs vouloir descendre et commença à pousser, en soufflant bruyamment.

Contrairement à un enfant humain – aussi bien plus gros, disons-le – l’œuf sortit facilement et moins douloureusement – où était-ce à cause de l’étirement de ses parois vaginales, dû aux brutaux tentacules ? Quoi qu’il en soit, malgré la douleur, malgré le plaisir éprouvé – déjà excitée, cela lui donnait envie de s’enfoncer un bâton ou quoi que ce soit à l’intérieur, de se chatouiller le clitoris.

Quelle planète et quelle néfaste influence de la faune sur elle.

L’œuf sortit, noir, dur, écailleux et roula sur le sol, juste devant elle. Elle reprit sa respiration en l’observant. Elle reprit ses efforts pour expulser les dix autres restants dans son utérus et les sept dans son colon.

Lorsque le second sortit, le premier commença à gigoter, prêt à éclore. Elle continua sa besogne, à la limite de l’orgasme – les mouvements des boules dans son vagin était… Si puissant qu’elle n’en jouirait que de ça.

Alors que le troisième œuf roulait au sol, le premier s’ouvrait et la « mouche » sortit. Cela interrompit les jappements adorables de la femme-chat : au lieu des mouches abominables habituelles – bien que plus grosses – sortit une créature innommable, une monstruosité. Le sperme des tentacules l’avait rendue fertile mais avait aussi fécondé les œufs : la bête qui sortit se trouvait avoir le corps et la tête des insectes à leur origine mais possédait d’innombrables tentacules à la place de la trompe et des pattes. Son thorax s’ouvrait, comme si plus grande elle pourrait emprisonner quelque humaine dedans, pour la violer interminablement… De plus, les aphrodisiaques des abeilles semblaient avoir donné à cette charmante « saloperie » un dard, à l’extrémité de « l’abdomen ».

Il lui fallait faire sortir tous les œufs mais… Ces créatures ne nuiraient pas plus que les mouches précédentes ? Les laisserait-elle vivre ? Ou… Souhaitait-elle essayer ces adorables appendices ?
 
Re: Delia [Kln]

Tentatrice... :D

Les spasmes commençaient à secouer Erin, et elle sentit les oeufs commencer à descendre de son corps.

Elle respirait bruyamment, alors que le premier oeuf sortait, étirait son passage à ses limites. Elle ne put s'empêcher de crier, à la fois de douleur, mais aussi de la stimulation procurée par le passage de l'oeuf.

Les oeufs sortirent un par un à un rythme régulier de ses entrailles, qu'elle pouvait voir se dégonfler progressivement à son soulagement.

Chaque oeuf sortant de son corps était moins douloureux et plus excitant. Les cris se transformèrent rapidement en halètements, et Delia était déjà sur le point de jouir alors que le troisième ovoïde pointait son nez.

Les craquements du premier oeuf détournèrent son attention. A sa grande suprise, alors qu'elle s'attendait à une sorte de stade larvaire, l'insecte qui sortit de l'oeuf était déjà adulte et bien formé, bien que plus petit que ses parents.
Ce qui l'inquiéta était toutefois sa différence d'avec les mouches qui l'avaient fécondé. Tandis que les insectes de la dernière fois avaient encore une forme ressemblant aux mouches terriennes, ces monstres là n'étaient que tentacules : sa trompe, ses pattes, et même l'intérieur de son thorax dont les grandes plaques s'ouvraient et se refermaient rapidement. Elle vit aussi la présence d'un aiguillon. Etait-ce l'influence des tentacules qui l'avaient violé? En tous les cas, ces insectes-ci étaient conçus pour abuser de leurs proies.
Elle s'imagina, enfermée dans cette cavité remplie de tentacules, coupée du monde, emprisonnée et abusée en permanence. Cela l'excita encore plus, alors que le 4ème oeuf commençait à sortir de sa cachette.

Elle se concentra sur l'éjection des derniers oeufs. Elle espéra que les mouches déjà écloses la laisseront tranquille durant le travail.
Elle décida de prendre ses distances avec les mouches dès la pondaison terminée. Elle était tiraillée entre la volonté de s'en éloigner le plus possible et l'espoir de les recroiser un jour, plus "matures".
 
Re: Delia [Kln]

Delia continua son travail alors que les mouches se reposaient actuellement sur le sol, prenant leur marque dans ce monde et cette vie-là.

La brunette enchaîna, un à un, les éjections des œufs, elle eut plusieurs orgasmes et même, vers la fin, en eu un par sortie, lorsqu’elle s’attela à ceux qui se trouvaient dans son colon.

Léchouille, toujours anxieux, continuait de faire les cents pas.

Au dernier œuf, Delia sombra à nouveau dans l’inconscience, après un autre orgasme qui finit de lui achever les cordes vocales. La jeune femme était exténuée et son corps vulnérable. Une fois toutes sorties les mouches s’envolèrent, loin d’elle, sans même se nourrir ou quoi que ce soit.

Elle ferma juste les yeux et disparut.

Son esprit rêva, rêva de tentacules innombrables et de cette progéniture qu’elle n’arrivait à considérer comme inconnue ou comme lui appartenant. Dans son rêve, plutôt doux, elle se faisait prendre, ramoner, encore et encore, par des centaines de phallus, de tentacules de toutes les couleurs. Vers la fin, elle baignait littéralement dans le sperme, remplie et couverte.

Elle se réveilla en sursaut, s’arrachant un autre cri, étouffé : sa main droite malaxait son sein alors que sa main gauche se trouvait enfoncée à l’intérieur de son vagin.

Gênée, Delia remballa ses affaires, cherchant du regard le labrador qui avait disparu durant son sommeil. Où diable pouvait-il être ?

Pouvait-elle crier son nom, à son compagnon, dans cette flore dangereuse ou point ? Allait-elle s’enfoncer espérant qu’il lui reviendrait ou souhaitait-elle attendre ici ? Elle avait soif, énormément soif. Elle pouvait économiser ou considérer la demande comme déjà urgente.
 
Re: Delia [Kln]

Delia expulsa le reste des oeufs, enchaïnant orgasme sur orgasme. Progressivement, tous éclorent et les nouvelle mouches prirent leur envol sans demander leur reste.

Delia sombra, épuisée, dans un sommeil agité fait de tentacules et autres appendices phalliques la prenant, encore et encore, la recouvrant d'une mer de sperme.
Elle se réveilla soudainement. Se rendant compte qu'elle se masturbait instinctivement.

Se levant, elle fut, au moins, agréablement surprise de son agilité retrouvée. Mais cela dura un court instant, car elle s'aperçu que Léchouille avait disparu. Et qu'elle avait soif... Si soif.

Elle se décida à utiliser une ration d'eau (il aurait été bête de mourir de déshydratation sur une planète où tout semblait vouloir vous faire mourir de plaisir) en attendant son chien.

S'il ne revenait pas d'ici quelques minutes, elle se déciderait à patrouiller aux alentours, pour voir s'il n'était pas parti chasser ou autre chose. Crier son nom pendant qu'elle le rechercherait était sans doute dangereux, mais elle se décida faire une ou deux tentatives si elle n'arrivait toujours pas à le retrouver.
 
Re: Delia [Kln]

Delia but une ration d’eau pour se laver du goût salé du sperme englouti précédemment : c’était semblerait-il une mixture énergisante, appétissante au goût mais qui donnait plutôt soif.

Elle attendit un peu, espérant le retour de Léchouille. Mais toujours ce silence lourd ou attrayant de cette stupide forêt violette. Alors, elle se leva et s’enfonça plus profondément dans la forêt.

Les arbres ne changeaient pas mais cependant, elle croisa sur son chemin quelques petits oiseaux et mammifères. Elle vit passer au loin une fourmi de la taille d’un nourrisson – elle se félicita de ne pas avoir rencontré de mouches ou de mouches tentaculaires : bien que les aphrodisiaques n’avaient plus d’effet sur elle, elle avait toujours quelques envies concupiscentes, fort heureusement, elle était en capacité de les réfréner.

Elle marcha pendant une dizaine de minutes, en donnant par moment un petit « Léchouille ! »

Jusqu’au moment où elle entendit un bruit suspect venant de son dos.
 
Re: Delia [Kln]

L'absence de Léchouille commença à inquiéter Delia. Il était peut-être collant, et violet (cette planète commençait à lui donner un dégoût du violet), mais c'était la chose la plus amicale qu'elle ait rencontré sur cette planète.

Elle explorait les environs depuis quelques minutes, croisant ça et là quelques animaux, heureusement inoffensifs, quand elle entendit tout un coup des branches craquer derrière elle. Elle se retourna en dégainant son arme, en espérant du fond du coeur que c'était son compagnon.
 
Re: Delia [Kln]

Delia vit soudainement jaillir l’éclair violet qu’était Léchouille en pleine course et bondir sur elle. Une fois de plus, la bousculant, elle tomba au sol.

Surprise, elle ne sut pas comment réagir. Allongée, elle sentit le contact râpeux de la langue de l’animal contre sa bouche inférieure. Sa vulve est rapidement détrempée de salive canine et aussi rapidement de ses propres jus à elle.

Est-il temps pour un autre round ou pas ?
 
Re: Delia [Kln]

Delia fut soulagée de voir que c'était Léchouille qui sortait du buisson à vive allure et commençait déjà à se jeter sur elle et ses parties inférieures.

Delia aurait adoré continuer, mais l'endroit n'était pas adapté pour ce genre d'activité, et Delia repoussa gentiment le chien. Cela devra attendre la prochaine étape. Ce faisant, ils continuèrent leur chemin.

Si Delia est nue, elle enfile une tenue de rechange (s'il en reste)
 
Re: Delia [Kln]

Eh oui : tu es allé trop vite en besogne :p !

Delia posa une petite tape sur le museau de son compagnon, gentiment, pour lui dire de s’enlever. Il releva la tête puis reprit son activité.

Bien qu’elle appréciait cela, la brunette devait le repousser. Elle l’écarta puis se remit debout et s’en retourna.

Là encore, elle ne comprit ce qui lui arriva : Léchouille, plutôt aimable et attentif depuis leur première fois, la bouscula à nouveau. Elle tomba sur les genoux, puis à quatre pattes lorsqu’il la grimpa. Elle souffla, écrasée par le poids du tandem chien-barda.

Elle n’avait que peu d’option : le laisser faire, enlever son sac qui les gênerait tous deux ou le repousser à nouveau. Laquelle des deux options était la plus dangereuse ?
 
Re: Delia [Kln]

Ayant repoussé (avec difficulté) Léchouille, Delia commençait à repartir lorsque tout à coup elle fut projetée au sol par Léchouille, qui chercha à nouveau à la monter. Le poids sur son dos lui coupa brièvement le souffle, et elle se retrouvait immobilisée sous l'animal. Etait-il en manque? Il semblait dans un état second.

Elle était résolue à ne pas se laisser faire. Après tout, elle ne pouvait pas se laisser violer par tous les animaux qu'elle rencontrait. Elle tenta de le repousser une nouvelle fois.
 
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